EXPERTBÂTIMENT

Investigation de la qualité de l’air

On ne doit pas négliger l’importance de la qualité de l’air dans les bâtiments. Nos habitations et lieux de travail contiennent de nombreuses substances qui pourraient être dommageables pour la santé. Les polluants de l’air intérieur varient entre les irritants mineurs, la poussière, les squames animales, et les irritants plus dangereux, soit la moisissure et les vapeurs chimiques émises par les matériaux de construction.

Notre champ d’activités nous permet de :

  • Procéder à l’inspection de bâtiments résidentiels, commerciaux, institutionnels et industriels;
  • Déceler les moisissures et bactéries, le plomb, le radon, le monoxyde de carbone, l’Anhydride carbonique, les composés organiques volatiles (COV) ainsi que les particules respirables telles que l’amiante;
  • Analyser les échantillons en laboratoire;
  • Rédiger les protocoles de décontamination;
  • Faire le suivi des travaux;
  • Émettre le certificat de conformité à la fin des travaux.

Analyse de la qualité des environnements intérieurs dans le cadre de la certification LEED

Chaque projet vers une certification LEED est unique. Toutefois, la majorité des entrepreneurs choisissent de procéder à une analyse de la qualité des environnements intérieurs pour satisfaire aux exigences concernant la réduction et l’élimination des polluants intérieurs. Cette analyse, facilement accessible, permet d’aller chercher davantage de points et possiblement atteindre le niveau de certification visé (argent, or ou platine).

Nos experts peuvent procéder à une analyse de la qualité de l’air selon votre type de projet et ses besoins spécifiques dans le cadre de la certification LEED pour tous niveaux confondus.

CONTAMINANTS
Formaldéhyde
Matières particulaires (MP10)
Composés organiques volatils totaux (COVT)
4 – Phénucyclohexane (4-PC) *
Monoxyde de carbone (CO)

*Cette analyse n’est requise que si on a installé des tapis et des tissus ayant un support de latex de styrène-butadiène (SB) dans le bâtiment de base.


Les différentes méthodes d’échantillonnage

Le prélèvement de surface

Le prélèvement de surface est utilisé lorsque la moisissure est visible et en quantité suffisante pour que l’investigateur puisse la quantifier. Le prélèvement est alors apporté au laboratoire pour l’identification microscopique. Une fois la moisissure identifiée, l’investigateur est en mesure d’émettre un constat et des recommandations spécifiques pour chaque cas.

Le prélèvement de poussière

La moisissure cachée à l’intérieur des murs a choisi comme moyen de reproduction de lancer des spores (minuscules particules) dans l’air.

Ces spores sont plus pesantes que l’air et, conséquemment, finissent par retomber et se déposer sur les surfaces horizontales (dessus d’armoires, meubles, cadres, etc.). Les spores sont donc mélangées à la poussière que l’on retrouve normalement dans une maison.  Suite à une mise en culture en laboratoire, un protocole d’analyse de cette poussière nous permet d’identifier et de comptabiliser chaque type de moisissure. Cette opération permet d’obtenir un indice de salubrité qualifiant la qualité de l’air de la résidence.

Le prélèvement d’air direct

Contrairement au prélèvement de poussière, où les spores prélevées peuvent être présentes depuis plusieurs semaines, le prélèvement d’air nous donne une lecture directe en temps réel. Cela signifie que les spores recueillies seront le reflet des conditions présentes lors de l’investigation. Ce type d’échantillonnage est utilisé plus souvent dans des endroits où il n’y a pas, ou peu, de poussière, par exemple des édifices à bureau, des cliniques spécialisées, etc. Les protocoles obligent à prélever au minimum deux échantillons, soit un à l’intérieur et un autre à l’extérieur du bâtiment pour permettre ainsi un comparable en vue d’une situation géographique.

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